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Vers 12h30, nous sommes appelés par un chasseur, car son chien, Loulou, est tombé samedi dans une fissure sur la montagne de Verre. La veille, lors de la visite de l'Abîme de Verre, Geoffrey avait bien aperçu des pompiers. Ceux-ci, à pied d'œuvre depuis 48h00, n'ont pas réussi à remonter l'animal.
Nous nous rendons sur place, où nous sommes conduits sur les lieux. Il s'agit d'une étroite fissure très déclive, profonde de 4,80 m. Large de 15 à 20 cm pour une hauteur de 40 cm, elle ne permet pas le passage d'une personne. Geoffrey tente quand même de s'y enfoncer, mais sans succès. Après quelques coups de pelles, il faut se rendre à l'évidence : il n'y a que de la roche en place et il sera impossible d'élargir la faille sans effectuer des travaux qui paraissent démesurés. Les pompiers, aidés des gens du coin, se sont déjà attelés à élargir la faille avec un marteau burineur, mais sans succès.
Après avoir gratté encore un peu pour essayer d'adoucir la pente, une longue planche est installée, recouverte en partie de grillage, en espérant que le chien aura l'idée de chercher à remonter seul du piège dans lequel il est tombé.
Ce sera la bonne solution. Le chien est récupéré mercredi matin !
Sur place, nous discutons et échangeons sur de vieilles mines ou carrières situées en contrebas de la coline. Nous avons connaissance d'un puits sans n'avoir jamais réussi à le siuer. Nos interlocuteurs nous donnent un peu plus de détails et nous décidons de partir à sa recherche. Malgré la description donnée, il nous faudra quadriller la forêt en long et large pour, enfin, rtrouver ce fameux puits. Il est déjà tard et nous reviendrons plus tard pour le descendre.