26déc.2022
Camp de Noël
Article publié par B. BOUCHARD le dimanche 10 décembre 2023.Gîte à La Rochegiron (04) à coté de Banon, tout neuf, confortable, fonctionnel avec un local pour le matériel, un peu excentré à l'est, pas cher, mais un peu petit (5 personnes OK, mais 6 auraient été justes).
Lavage du matériel dans le Calavon, tout près de la perte (cf. plus loin).
Météo excellente : pas de pluie et températures très douces.
Déroulement : Comme tous les ans, le camp n'a pas connu de temps mort avec une cavité équipée et déséquipée tous les jours (même le 31 décembre) et de la rando pour Julius et Katka pour laquelle la spéléo verticale du secteur était difficile. Les points forts ont été indubitablement le Caladaïre et l'Aven Aubert.
Programme réalisé :
Mardi 27 décembre : Aven des Cèdres jusqu'au fond à -173 m. TPST : 6 h 30. Non brochée, sans fiche d'équipement. Cavité impossible à trouver sans une application cartographique faisant GPS . Nous avons utilisé MAPS.ME, appli gratuite off line dont le fond de carte est téléchargeable auparavant. La plupart des cavités du coin, dont les Cèdres, y sont implantées avec apparemment une bonne précision.
Mercredi 28 décembre : Aven Joly jusqu'au méandre de la Relativité Restreinte (-150 m). TPST 7 h. Déjà fait en 2018. Equipé en fixe en dessous du couloir de la Sublimation.
Jeudi 29 décembre : le Caladaïre jusqu'à – 300 m. TPST 7 h. Le Caladaïre est une cavité dont on se souvient. Les 2 puits d'entrée, le P63 et surtout le P93, presque complètement cylindrique, sont impressionnants. Autrefois (camp de Noël Afegc 2000), le P93 était en fil d'araignée depuis une poutre métallique en clef de voûte. Maintenant, un équipement judicieux avec pendules permet de le fractionner. La cavité était équipée en fixe (mis à part une 1ère longueur dans le puits d'entrée) jusqu'à un chantier de désob à – 300 m, chantier bien organisé que nous avons visité.
Vendredi 30 décembre : Aven Aubert jusqu'au méandre de l'Ankou (-202 m). TPST : 7 h. Cette cavité brochée, très agréable à équiper, n'est que du bonheur malgré un court méandre « à l'horizontale » en début de trou. L'entrée, dans une volière, au milieu de poules curieuses, est étrange. L'équipement d'une vire montante gazeuse est « stimulante » et surtout le puits de l'Adrénaline (P93) qui suit est carrément magnifique. En prime par rapport au camp 2018, nous avons descendu le puits suivant, le puits de l'Aboutissement (P55), qui n'est pas mal non plus.
Samedi 31 décembre : Aven de la Vipère jusqu'au départ du boyau de fond de trou (- 100 m), TPST : 4h40. Au début de la journée, nous voulions faire la perte du Cavalon. La condition sine qua non était que la perte ne soit pas active comme en 2018 où nous n'avions pas pu nous engager dans la cavité. Laurent, qui était arrivé au gîte avant nous le 1er jour, avait fait la reco et avait constaté que rien ne coulait. Une occasion à saisir. Malheureusement, ce qu'il a vu n'était pas la perte, mais un autre trou anonyme à 200 m de la perte, qui, elle coulait bien. Retour au gîte et choix d'un autre trou pas trop long en raison de la journée bien avancée. C'est comme ça que nous avons fait la Vipère, sans fiche d'équipement et avec des indications plus que fantaisistes concernant l'approche. On s'en est quand-même tiré sans trop chercher.
Dimanche 1er janvier : Lavage du matériel dans le Calavon à un endroit qui allait bien avec un petit barrage repéré par Laurent.
Peu de participants, mais un bilan spéléologique très satisfaisant.
Fred
Lavage du matériel dans le Calavon, tout près de la perte (cf. plus loin).
Météo excellente : pas de pluie et températures très douces.
Déroulement : Comme tous les ans, le camp n'a pas connu de temps mort avec une cavité équipée et déséquipée tous les jours (même le 31 décembre) et de la rando pour Julius et Katka pour laquelle la spéléo verticale du secteur était difficile. Les points forts ont été indubitablement le Caladaïre et l'Aven Aubert.
Programme réalisé :
Mardi 27 décembre : Aven des Cèdres jusqu'au fond à -173 m. TPST : 6 h 30. Non brochée, sans fiche d'équipement. Cavité impossible à trouver sans une application cartographique faisant GPS . Nous avons utilisé MAPS.ME, appli gratuite off line dont le fond de carte est téléchargeable auparavant. La plupart des cavités du coin, dont les Cèdres, y sont implantées avec apparemment une bonne précision.
Mercredi 28 décembre : Aven Joly jusqu'au méandre de la Relativité Restreinte (-150 m). TPST 7 h. Déjà fait en 2018. Equipé en fixe en dessous du couloir de la Sublimation.
Jeudi 29 décembre : le Caladaïre jusqu'à – 300 m. TPST 7 h. Le Caladaïre est une cavité dont on se souvient. Les 2 puits d'entrée, le P63 et surtout le P93, presque complètement cylindrique, sont impressionnants. Autrefois (camp de Noël Afegc 2000), le P93 était en fil d'araignée depuis une poutre métallique en clef de voûte. Maintenant, un équipement judicieux avec pendules permet de le fractionner. La cavité était équipée en fixe (mis à part une 1ère longueur dans le puits d'entrée) jusqu'à un chantier de désob à – 300 m, chantier bien organisé que nous avons visité.
Vendredi 30 décembre : Aven Aubert jusqu'au méandre de l'Ankou (-202 m). TPST : 7 h. Cette cavité brochée, très agréable à équiper, n'est que du bonheur malgré un court méandre « à l'horizontale » en début de trou. L'entrée, dans une volière, au milieu de poules curieuses, est étrange. L'équipement d'une vire montante gazeuse est « stimulante » et surtout le puits de l'Adrénaline (P93) qui suit est carrément magnifique. En prime par rapport au camp 2018, nous avons descendu le puits suivant, le puits de l'Aboutissement (P55), qui n'est pas mal non plus.
Samedi 31 décembre : Aven de la Vipère jusqu'au départ du boyau de fond de trou (- 100 m), TPST : 4h40. Au début de la journée, nous voulions faire la perte du Cavalon. La condition sine qua non était que la perte ne soit pas active comme en 2018 où nous n'avions pas pu nous engager dans la cavité. Laurent, qui était arrivé au gîte avant nous le 1er jour, avait fait la reco et avait constaté que rien ne coulait. Une occasion à saisir. Malheureusement, ce qu'il a vu n'était pas la perte, mais un autre trou anonyme à 200 m de la perte, qui, elle coulait bien. Retour au gîte et choix d'un autre trou pas trop long en raison de la journée bien avancée. C'est comme ça que nous avons fait la Vipère, sans fiche d'équipement et avec des indications plus que fantaisistes concernant l'approche. On s'en est quand-même tiré sans trop chercher.
Dimanche 1er janvier : Lavage du matériel dans le Calavon à un endroit qui allait bien avec un petit barrage repéré par Laurent.
Peu de participants, mais un bilan spéléologique très satisfaisant.
Fred