L'exploration dans les entrailles de la Fosse Dionne, à Tonnerre, se poursuit.
Ce week-end, Pierre-Éric Deseigne a de nouveau plongé dans la source vauclusienne (aux côtés d'Alexandre Legrix) comme il le fait régulièrement depuis cet été, en accord avec la mairie. « Ces deux journées ont été consacrées à la prise de photo », explique le quinquagénaire, toujours autant séduit par la « beauté du site ».
Récemment, un nouveau fil d'Ariane a été installé jusqu'à une profondeur de 35 mètres et des relevés cartographiques ont été effectués.
« On avance pas à pas », commente Pierre-Éric Deseigne qui devrait de nouveau plonger les 15 et 16 décembre prochains. Ira-t-il au-delà du record de 370 mètres de profondeur ? « Je prends mon temps. Je me familiarise avec la cavité. Mieux la connaître est un gage de sécurité.
» Il faudra attendre « la fin de l'hiver ou le printemps prochain » pour que le plongeur se consacre pleinement à l'exploration. Et, peut-être, aille là où personne n'est jamais allé.
M.C.
L'exploration dans les entrailles de la Fosse Dionne, à Tonnerre, se poursuit.
Ce week-end, Pierre-Éric Deseigne a de nouveau plongé dans la source vauclusienne (aux côtés d'Alexandre Legrix) comme il le fait régulièrement depuis cet été, en accord avec la mairie. « Ces deux journées ont été consacrées à la prise de photo », explique le quinquagénaire, toujours autant séduit par la « beauté du site ».
Récemment, un nouveau fil d'Ariane a été installé jusqu'à une profondeur de 35 mètres et des relevés cartographiques ont été effectués.
« On avance pas à pas », commente Pierre-Éric Deseigne qui devrait de nouveau plonger les 15 et 16 décembre prochains. Ira-t-il au-delà du record de 370 mètres de profondeur ? « Je prends mon temps. Je me familiarise avec la cavité. Mieux la connaître est un gage de sécurité.
» Il faudra attendre « la fin de l'hiver ou le printemps prochain » pour que le plongeur se consacre pleinement à l'exploration. Et, peut-être, aille là où personne n'est jamais allé.
M.C.